On ne sait pratiquement rien sur la ou les écoles qui ont pu exister sur Vivy avant le transfert du bourg depuis les bords de l’Authion jusqu’à la route nationale actuelle.

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L’église est construite entre 1846 et 1849 puis le presbytère en 1851. Le curé de Vivy arrivé en 1842, l’abbé Cellier avait désiré une classe spéciale pour les petites filles confiées à des religieuses. Après bien des difficultés, il réussit à faire construire une école pour les filles et une maison d’habitation pour les sœurs. Les sœurs de la Salle de Vihiers arrivent en 1853 : Sœur Marguerite, pour soigner les malades et sœur Marie de la Visitation pour la classe.

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La congrégation dénommée «  Filles de la Charité du Sacré Cœur de Jésus » était vouée au Sacré Cœur. Sœur Marguerite Marie communiqua une révélation qu’elle avait eue du Sacré Cœur : «  Je bénirai les maisons où mon image sera honorée ». L’école du Sacré Cœur a donc reçu son nom de la congrégation fondatrice.

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Pour mémoire l’école primaire gratuite et laïque fut créée en 1881 puis rendue obligatoire en 1882 sous l’impulsion de Jules Ferry. Plus tard au début du XX ème siècle, Combes, anticléricaliste militant, se heurta aux congrégations ; de nombreuses écoles ont été fermées. Puis le débat sur la séparation des biens de l’Eglise et de l’Etat en 1905, déboucha sur la confiscation des biens de l’église en 1906. C’est ainsi que la paroisse a été dépossédée de sa première école privée, route de la Jouannerie, qui se situait dans l’actuelle résidence Val de Loire.

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Aussitôt, l’Abbé Beucher avec les paroissiens de la commune fait reconstruire une nouvelle école privée à proximité : deux classes, un vestiaire et un logement pour la Communauté des Sœurs. Ce bien est transmis ensuite à l’Abbé Lochu qui en septembre 1937, le rétrocède à l’Association Sainte Thérèse l’actuelle association propriétaire de l’école.

L’Abbé Baudouin, nommé curé de Vivy en 1933 souhaite que les garçons de la paroisse puissent être scolarisés dans une école privée. En 1937 il fait construire une classe et un vestiaire sur un terrain route des Saudières. En 1939, la classe est surchargée. On ouvre une nouvelle classe dans le vestiaire.

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En 1953, pour faire face à une surcharge d’effectifs que ce soit à l’école des filles ou celle des garçons, l’Abbé Rebourcier achète la propriété des Bassauges pour accueillir les filles et la Communauté des Sœurs.

L’école des garçons est transférée à la place de celle des filles route de la jouannerie.

En 1960 Les sœurs de la Salle de Vihiers cèdent la tutelle de l’école à la congrégation des sœurs Jeanne Delanoue dont le siège à St Hilaire Saint Florent est plus proche.

En 1962 deux classes préfabriquées sont installées aux Bassauges car les classes ne sont plus aux normes.

En 1965-1966 l’Association Sainte Thérèse prend des décisions.

• Les garçons retournent route des Saudières et on y construit une classe supplémentaire.

• Les filles retournent route de la Jouannerie où l’on transfère les deux classes préfabriquées des Bassauges. On ajoute un préau.

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En 1972, on décide de mélanger les garçons et les filles des deux écoles. Les deux écoles gardent leur identité. L’école des filles accueille les classes maternelles, le CP et le CE1 ; l’école des garçons accueille les CE2, CM1, CM2. Un nouveau préfabriqué est construit pour les besoins de restauration devant la cuisine des sœurs. Après divers changements c’est en 1991, que naît l’idée de fusionner les deux écoles en une seule structure sur un seul site : route de la Jouannerie. En septembre 1996, Christiane Sanchez aura été la première directrice des deux écoles fusionnées mais dés septembre 1997, c’est Françoise Tulasne qui la remplacera à ce poste. Suivi de Cécilia Tulasne en septembre 2008 jusqu’en août 2015. De 2015 à 2024, l'établissement est dirigé par Aurore PERDRIAU, qui laisse sa place en 2024 à Lucie MARTIN.